Gabriel Bluet, Sciences Po Lille et Sorbonne

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Gabriel Bluet, Sciences Po Lille et Sorbonne

Bonjour Gabriel ! Peux-tu nous raconter les étapes de ton parcours ?

Après un Bac S à Blois, je suis parti à Tours pour une classe préparatoire économique et commerciale (ECS). Ensuite, j’ai intégré Sciences Po Lille qui m’a notamment permis d’étudier à l’Université de Bergen en Norvège pendant ma troisième année. Parallèlement, j’ai suivi deux autre cursus : une licence d’économie appliquée à Paris Saclay et une licence puis un master 1 de droit public à l’Université de Lille. J’achève cette année mon Master d’Affaires publiques à l’IEP tout en validant un Master 2 Recherche en Histoire économique à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.


Pourquoi avoir choisi de rejoindre Du Loir-et-Cher aux Grandes Écoles ?

D’une part, pour l’avoir vécu et observé, il existe une autocensure parmi les jeunes lycéens de ce que l’on appelle “les territoires”. C’est un formidable gâchis à la fois pour ces jeunes, pour ces territoires et pour notre pays. Or, je suis convaincu que les actions de DTGE permettent de lever les obstacles auxquels se heurtent trop souvent les lycéens. D’autre part, je cultive une profonde affection pour mon Loir-et-Cher natal avec lequel j’ai conservé une solide attache. J’y suis élu municipal et j’y travaille à mi-temps en parallèle de mes études. Du Loir-et-Cher aux Grandes écoles est une autre manière de se mettre à son service !
 

Peux-tu nous dire un mot sur ton territoire d’origine ? 

Le Loir-et-Cher, c’est un art de vivre ! C’est une terre paisible, ancrée dans de belles traditions et bercée d’un climat plutôt doux. Je crois que c’est un territoire où l’on vit bien. Il a ses atouts à mettre en avant pour maintenir son dynamisme et son attractivité !
 

Si tu avais une chose à dire aux lycéens aujourd’hui ?

Osez !
 
Ta citation préférée ?
 
S’il faut en choisir une qui puisse trouver écho chez des jeunes, je dirais ces quelques mots de René Char : “Impose ta chance, serre ton bonheur et va vers ton risque. À te regarder, ils s’habitueront.”

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